Cette année, le beau temps était de la fête, offert en prime par les forains ! Et la bonne humeur toujours là. Un beau moment de partage de sensations, de joie, et de sourires...Merci à nos hôtes d'un jour.

Le choix du dimanche des rameaux n’était peut être pas des plus opportuns pour nombre de convives fidèles de la choucroute d’Equipage , car beaucoup de familles du Saintois aiment traditionnellement se retrouver autour du souvenir de leurs défunts en cette fête. Néanmoins, la salle de Bralleville était quasiment complète huit jours avant la date de clôture des inscriptions, et on y a rencontré dimanche 20 mars 16 des visages nouveaux.

Le dévouement n’a pas faibli. Les bénévoles se sont même surpassées en nombre de petits gâteaux salés et sucrés pour une qualité toujours au top. Et les mêmes fidèles avaient tout organisé pour le confort et le bonheur des convives.

La choucroute était excellente, et le ballet des serveuses parfaitement rôdé a permis qu’elle soit servie bien chaude.

Dés qu’ils furent rassasiés , ce sont les jeunes gens du Foyer qui donnèrent à la fête son tempo, c'est-à-dire particulièrement enjoué.

La loterie toujours très prisée a fait monter l’ambiance d’un cran. Et c’est dans la bonne humeur , et aussi l’humour, que les récompenses ont été dispersées.

Un bon cru donc en se donnant rendez-vous à l’an prochain.

Fidélité, joie, bonheur d'être ensemble, beauté du chant et de la musique et ce message de paix et de bienveillance distillé sans cesse... LA chorale dirigée par Isabelle Didion , de 20 ans d'âge, est venue encore enchanter la petite église du Saintois, un peu frisquette à cette saison. Mais la chaleur était dans les choeurs et dans les coeurs.

C’est avec joie que nous nous sommes retrouvés sur les pentes de la colline de Sion, avec Denis et son tracteur et toute l’équipe d’accompagnement, bénévoles et professionnels.

Le soleil était au rendez-vous. Stéphane, le photographe qui réalise le film des 50 ans de l’Association Fondation Bompard, notre partenaire gestionnaire du Foyer Equipage, a filmé notre atelier.

Nous avons ramassé les premiers sarments taillés, puis nous avons chargé sur la remorque de Denis, les poteaux de châtaignier entreposés en bout de ligne, afin de les mettre à l’abri en vue d’ un prochain chantier de remplacement. Avec quelle énergie toute l’équipe, s’est mise au travail !

Ensuite, nous avons partagé un goûter fait de délicieuses brioches réalisées par Monique, une bénévole de Chaouilley, et de grands gobelets de chocolat chaud, et aussi du jus de raisin de notre vigne pasteurisé au moment des vendanges.

Nous avons constaté que cet atelier de la vigne remplit parfaitement son rôle : donner des repères à travers les saisons. Dés les premiers soleils de février, les jeunes vignerons se sont enquis de la date de ce premier chantier de l’année : époque de la taille, et des sarments ramassés. La première année, ils avaient aussi planté. Ils ont évoqué les vendanges passées et à venir...Vive la vigne ! Vive les saisons !

Les résidents avaient préparé la journée : en cuisant d’excellentes pâtisseries, en se mettant sur leur trente-et-un, en convoquant la joie à la rencontre ! Accueil de Boris Albrecht , directeur de la Fondation A et P Sommer, et de Lydie Deloustal, chargée de communication par les instances professionnelles du foyer, la directrice Corinne Gasperini, mais aussi Marie-Louise Diebold, présidente de l’Association Fondation Bompard, et du directeur général de l’AFB , Jacques Royer venus de Novéant-sur-Moselle, siège de l'AFB. Le déjeuner s’est déroulé parmi les résidents.

Les responsables de Sommer ont remis un chèque de 10 000 € à la directrice , et à la responsable de la petite ferme en présence de la présidente de l’association Equipage , Dominique Griffaton, mais aussi de la directrice de l’école maternelle de Diarville, Delphine Bouton.

Cette somme, à laquelle notre association ajoute un chèque de plus de 2000 € va permettre de réaliser un parcours imaginé par Annie Marchand, la responsable de la ferme et Jean-Baptiste, qui l’assiste, pour porter à son maximum les conditions de mise en relations avec l’animal, au sein de la petite ferme , un des points forts de cette structure pas comme les autres.
C’est cette activité de la ferme pédagogique qui a valu à l'équipe d’être lauréate de la Fondation Sommer, spécialisée dans ce type d’actions avec les animaux. Depuis l’ouverture de cette structure mise à disposition par notre association de soutien, les personnels du foyer en font un lieu de repères, par le contact et le soin aux divers animaux, un lieu d’échanges entre les résidents, et avec des visiteurs venant de l’extérieur : enfants de l’école maternelle, personnes âgées de l’EHPAD de St Firmin, le village voisin, ou encore résidents d’autres Foyers, d’autres structures. En un mot, un lieu de médiation qui a été tout de suite repéré par la fondation Sommer.A bientôt pour la réalisation de ce parcours!

La galette des rois offerte par l'association et le foyer Equipage est toujours un moment de convivialité à Diarville. Un moment de rencontre entre les résidents, leurs parents, les accompagnateurs professionnels et bénévoles,et les administrateurs d'Equipage.

Le concert offert par le grand orchestre du foyer dirigé par Christophe leur chef et professeur a retenu l'attention des spectateurs. Duos, solos à la guitare, ensemble et en rythme, on ne se lassait pas, avec un moment particulièrement émouvant lors de la chanson des Indiens , démonstration d'une belle interprétation.

Ensuite, on a partagé d'excellentes galettes qui ont fait de nombreux rois...

Temps de diaporama pour se remettre dans l'ambiance de ce marché de Noël serein, sympathique,et bien rôdé qui a fait tranquillement face à une belle affluence. Les beaux et bons produits des bénévoles d'Equipage sont partis comme des petits pains!

La présidente pouvait se féliciter de cette édition 2015 réussie, mais les responsables d'atelier ont tout de même proposé des points d'amélioration pour l'an prochain. Une foire aux idées nouvelles a été lancée avec succès et reste ouverte.

Samedi, dés l'aube, François le fournisseur de charbonnette, livrait sa récolte pour allumer les feux.
Relais pris par les chauffeurs, porteurs de fers à gaufres prêts pour les deux jours de cuisson. Chantier minutieusement préparé, en prenant soin de choisir l'emplacement, et encore plus de mettre à l'abri la vendeuse, tandis qu'en coulisses, la présidente façonnait les douceurs avec l'aide de la jeune garde.
Aux marrons, l'équipe avait elle aussi préparé ses cornets, et amené ses sacs de marrons du Sud Ouest mirés par toute une escouade , puis cuits à la poële pendant de longues minutes par cinq ou six marmitons. On faisait la queue pour avoir son cornet si bien qu'à la fin de la première journée la réserve de châtaigne était épuisée. Il fallut se réapprovisionner.

Sous le chapiteau , s'alignaient d'un côté les pâtisseries , pains d'épices, cakes , sablés , macarons, roses des sables , quantité de verrines variées de gelées et confitures, de l'autre les objets artisanaux , en toutes matières, les tricots, pulls, bonnets, gants , écharpes fabriquées par une armée de tricoteuses tandis que les couturières proposaient les tabliers , sacs, poches en tissus brodées, doublées, trés utiles à la veille de l'interdiction des sachets plastiques pour faire les courses.